Fouler l'Antarctique est un privilège rare. C'est pourtant ce qu'a vécu Alexandre Bigan. Une aventure qu'il est venu évoquer avec les 1ières HGGSP, ce vendredi 10 janvier.

Transformé par cette découverte, il est devenu un "ambassadeur du climat" et témoigne à ce titre de son expérience.

Un privilège rare, partagé par Alexandre Bigan : écouter l'Antarctique

Ce continent recouvert de glace est dédié à la nature, la paix et la science, du moins jusqu'en 2041, date à laquelle sera renégocié ce traité international unique en son genre. L'Antarctique demeure donc pour l'instant un sanctuaire sans frontière, d'une certaine manière à l'écart des problèmes du monde. Sauf pour ce qui concerne les changements climatiques, déjà perceptibles. 

Il s'agit donc d'agir ici et maintenant, comme le rappelle Alexandre Bigan, parce que ce continent est un territoire sentinelle des évolutions de la planète.